mardi 29 juin 2010

POUR NON PAIEMENT DE BOURSE A L'UNIVERSITÉ CHEIKH ANTA DIOP DE DAKAR


LES ETUDIANTS SACCAGENT DEUX BUS DAKAR DEEM DIK (DDD)

Deux Bus DDD sont''kidnappés'' depuis plus d'une semaine au campus social de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar(UCAD).
Il s'agit notamment du P18 et du P20 qui assurent la liaison de Dieupeul un quartier de Dakar.
Hier,(lundi 28 juin 2010) aux environs de 11h30 ces étudiants ont voulu calciné les deux Bus qui se trouvent au Halle du Pavillon B du campus social.
Cependant certains d'entre eux n'étaient pas d'avis.
Selon cet étudiant, sous couvert de l'anonymat"il n'est pas question de bruler ces Bus, nous utilisons ces Bus et nos parents aussi"
Malgré ce refus de quelques uns, les pare-brises des deux Bus P18 et P20 ont été complètement détruites par des étudiants très remontés pour le non paiement de leur bourse.
Et même, le service du Centre des Oeuvres Universitaire de Dakar( COUD) a été attaqué par les étudiants, n'eut été l'intervention des vigiles et de certains étudiants, le drame se produirait.
"Nous voulons parler avec le Directeur du COUD, mais certains étudiants sont très mécontents pour non paiement de nos bourse" renseigne Moustapha Sall, étudiant gréviste.
''Nous vivons une situation détresse'' se désole Mary Thiam, étudiante en 2ème année à l'IFACE.''C'est une manière d'attaquer l'État en cassant les pare-brises de ces deux Bus'', poursuit-elle.
''Pour les autorités qui seront mécontents de l'attitude des étudiants(Ndlr: saccager les deux Bus kidnappés depuis deux semaines ), ils n'ont qu'à abandonner à leur salaire ,la bourse c'est comme notre salaire, nos parents ne nous donnent plus d'argent car ils estiment que nous avons la bourse ou l'aide. Au Sénégal nos dirigeants ne répondent aux besoins des étudiants que s'il y'a violence, c'est regrétable'' conclut-elle.
Babacar Sarr, étudiant en deuxième année à la FASEG, parle plutôt de situation ''critique'' pour l'ensemble des étudiants mais surtout ceux qui logent et qui sont loin de leurs parents.
"Je ne suis pas d'accord pour le saccage des Bus, je veux pas la violence, je comprends le comportement de mes camarades étudiants. Nous sommes là tous les jours à partir de 5h de matin et c'est la deuxième semaine et les payeurs ne viennent jamais" renseigne M. Sarr.
Pour certains étudiants le manque de communication entre l'État et les étudiants conduit souvent à ce genre de problème.
"Si la direction des bourses avertissait aux étudiants les retards de paiement des bourse, tous les étudiants allaient comprendre et se préparaient en conséquence, mais c'est dommage il y a pas de communication entre les deux parties" a indiqué Babacar Sarr. Selon M. Sarr, les ''émeutes naissent comme ça donc l'État doit prendre les dispositions pour payer les étudiants, surtout que ces derniers sont en période d'examen, l'État doit éviter le drame qui risque de se produire si les bourses arrivent toujours en retard''.
Ces étudiants vivent le calvaire en attendant le paiement de leur bourse.

samedi 12 juin 2010

48HEURES DE GREVE NON RENOUVELABLES

LES ÉTUDIANTS DU CENTRE D'ÉTUDES DES SCIENCES ET TECHNIQUES DE L'INFORMATION(CESTI) REPRENNENT LES COURS LUNDI 14 JUIN 2010 A 08HEURES,LE DÉCRET SIGNE


Après 25 jours de grève les étudiants du CESTI ont décidé de lever leur mot d'ordre de grève et reprendre leurs cours lundi, à 08heures du matin, a révélé Amadou Diop, président du collectif des étudiants.

"Le président de la République a signé le décret, nous avons obtenu gain de cause sur l'ensemble des points de revendication.Par conséquent le mot d'ordre est levé et les cours reprennent lundi" a indiqué M. Diop leur de leur Assemblée générale, tenue le vendredi 11 juin 2010 au CESTI.

Les étudiants réclamaient l'obtention des diplômes en lieu et place des attestations délivrées depuis 2000.

Une copie pour preuve de signature du décret par le président de la République est distribuée aux étudiants présents lors de l'Assemblée générale. "Le décret pour lequel nous luttions il y a de cela 25 jours, le voilà en fin entre nos mains, c'était un combat commun et c'est une victoire commune" a conclu M. Diop.
Pour Moussa Mané membre du collectif et étudiant en deuxième année ''c'est un sentiment de satisfaction pour l'ensemble des étudiants, personnellement c'est une satisfaction morale pour moi".
" Les acquis ne se négocient pas, les acquis se consolident et le diplôme supérieur de journalisme du CESTI fait partie de ces acquis" a-t-il indiqué.
Selon le président du collectif des étudiants, Amadou Diop, pour magnifier l'issue heureuse de la grève "La Directrice, Eugénie Rokhaya Aw Ndiaye offre à ses étudiants un cocktail le lundi 14 juin 2010 à la case foyer".

jeudi 10 juin 2010

SIT-IN DES ETUDIANTS DU CENTRE D'ETUDES DES SCIENCES ET TECHNIQUES DE L'INFORMATION(CESTI)


Les étudiants du Centre d'Études des Sciences et Techniques de l'Information(CESTI) ont organisé le lundi 07 juin 2010 un Sit-In au Rectorat de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar(UCAD).
"Nous voulons des diplômes! En bas les attestations" c'est sur ces notes que les étudiants sont arrivés au niveau du Rectorat de l'UCAD.
Ces étudiants réclament des diplômes à la place des attestations délivrées depuis quelques années.
Retour sur quelque temps forts de la manifestation,
C'est à 10heures que les étudiants ont quitté en masse le CESTI pour aller tenir le sit-in au niveau du Rectorat. Des brassards rouges animent la manifestation. Du cloir de la mort en passant par la Faculté de médecine ces étudiants ont attiré parfois l'attention de certains étudiants qui passant, qui parfois demandent la cause de cette marche de futurs journaliste en herbe.
Les étudiants s'arrêtent parfois pour faire un seul bloc s'il arrive que certains de leurs camarades avancent plus vite ou lorsque les autres sont derrière."Serrez les rangs! serrez les rangs!" crient certains d'entre eux. A quelques mettres du Rectorat ils s'arrêtent et forment un bloc compact par rang de quatre, histoire d'être plus visibles et organisés. Certains sont vêtus de T-shirt blancs sur lesquels on peut lire"CESTI APPRENDRE A INFORMER JUSTE ET VRAI".
A l'arrivée sur les lieux des vigiles se trouvent à la porte d'entrée du Rectorat, les cris et applaudissements,"nous voulons nos diplômes en bas les attestations" reprennent de plus belle manière.
Les vigiles barrent la porte d'entrée pour ne pas que les manifestants envahissent le bureau du Recteur, Abdou Salam Sall. Quelques minutes après un homme vêtu en veste gris arrive et s'adresse aux étudiants. C'est le Recteur qui l'envoie, il est porteur de message."Écoutez, le Recteur désire vous rencontrer, il demande que quatre d'entre vous lui trouve dans son bureau". déclare-t-il.
Les applaudissements deviennent plus forts, signe de satisfaction certainement car selon ces manifestants, le Recteur avait refusé de les recevoir ces derniers jours.
Les quatre étudiants se dirigent vers le bureau accompagnés d'une demoiselle, Yacine Cissé,étudiante en quatrième année au CESTI, membre du collectif.
Nous sommes aux environs de 11heures. Le reste des manifestants attendent au dehors leurs camarades. Toute cette scène se déroule sous l'oeil attentif de certains étudiants venus révisés leurs leçons sous les arbres qui font face au Rectorat. Parfois des passant s'arrêtent pour se renseigner de la présence des étudiants du CESTI au Rectorat.
"Nous réclamons des diplômes, les attestations nous servent à rien" renseigne Mabinty Soumah, étudiante au CESTI.
Il faut signaler que tous les étudiants du CESTI ne sont pas présents au sit-in. On nous signale que la plupart des étudiants de la deuxième année ne sont pas là.
Le sit-in prend fin aux environs de 12heures après que les étudiants soient sortis du bureau du recteur.
''Le recteur(Ndlr: Abdou Sallam Sall) nous a promis que le décret sera signé aujourd'hui ou demain'' informe Amadou Diop, président du collectif des étudiants.

MOUVEMENT DE GREVE AU CENTRE D'ETUDES DES SCIENCES ET TECHNIQUES DE L'INFORMATION(CESTI),48 HEURES RENOUVELABLES


Après la rencontre avec le ministre de l'enseignement supérieur, Amadou Tidiane Bâ, les étudiants du Centre d'Études des Sciences et Techniques de l'Information(CESTI) ont décrété 48heures renouvelables.
Les étudiants du CESTI ne sont pas près pour regagner les salles de cours. Il entament ainsi la troisième semaine de gréve.
A l'issue de leur Assemblée générale, tenue mercredi 02 juin 2010 ils ont décrété 48heures de gréve renouvelables et cela malgré la rencontre avec le ministre.
Ces étudiants revendiquent des diplômes qui sanctionneront leur formation à la place des attestations qui sont toujours attribuées aux différentes promotions depuis dix ans. Le second point de la revendication des étudiants c'est la notation de la grande enquête.
A l'audience"Le ministre nous a fait comprendre que le dossier se trouverait en ce moment au niveau du Secrétariat de la présidence de la République"selon Abdoulaye Sinkaré, membre du collectif et étudiant en troisième année.
La date de la signature du dossier n'est pas encore connue, car selon M.Sinkaré"Le ministre a dit qu'il ne sait pas le jour de la signature du décret, même s'il a assuré que le décret sera signé".
A la fin de ses propos, le ministre a appelé aux étudiants à revenir à de sentiments plus louables.
Selon M.Sinkaré le ministre a rassuré q'"une copie sera délivrée aux étudiants quant le décret sera signé par le chef de l'État".
En attendant de voir les choses évoluer en leur faveur, le collectif a décrété 48heures de gréve renouvelables.


LA QUESTION D'UNE ANNEE VALIDE OU INVALIDE AU CENTRE D'ETUDES DES SCIENCES ET TECHNIQUES DE L'INFORMATION(CESTI)


Amadou Diop étudiant en troisième année et membre du collectif des étudiants du CESTI apporte des précisions.
Après deux semaines de gréve au Centre d'Études des Sciences et Techniques de l'Information(CESTI) des inquiétudes commencent à se faire ressentir chez certains étudiants.
Cette situation fait suite au retour de voyage pédagogique qu'a effectué les étudiants de la deuxième année ces derniers jours.
Lors de l'Assemblée générale tenue le 2 juin 2010 au CESTI, M.Diop a dit à ses camarades de ne pas s'inquiéter.
Il se veut clair par rapport à cette situation."Par rapport aux inquiétudes de certains pour une probable année invalide, on a saisi la Directrice, Eugénie Rokhaya Aw Ndiaye. On l'avait dit qu'il faudra qu'on fasse attention, ne pas mettre des battons dans les roux de ce mouvement"selon Amadou Diop, membre du comité des étudiants.
Il précise que personne n'a le pouvoir de geler une année universitaire, et même"la directrice a dit qu'elle n'a pas cette capacité" a renchéri M.Diop.
Pour rassurer ses camarades étudiants, il a dit"L'université est régi par des textes et cela ne dépend pas d'une seule personne pour invalider une année".
Auparavant il a dit"Nous avons assuré 8 mois de cours, on ne peut plus parler d'année invalide. L'année universitaire c'est 25 semaines, vous les comblez on ne peut plus parler d'année invalide".
"Ne vous leurrez pas, les textes sont bien clairs et nous sommes conscients, nous comprenons les textes universitaires"a conclu Amadou Diop, membre du collectif des étudiants du CESTI.
Le mouvement de gréve se poursuit en attendant que le décret soit signé pour l'obtention des diplômes en lieu et place des attestations après la formation.

mercredi 9 juin 2010

LA COUPE DU MONDE EST-ELLE UN FACTEUR DE DEVELOPPEMENT?

La coupe du monde de football offre des retombées pour les pays participants. C'est l'un des plus grands événements sportifs de la planète.
Les avantages en matière d'économie sont énormes pour le pays organisateur.
En guise d'exemple, l'Afrique du sud pays organisateur de la coupe du monde du 11juin au 11juillet 2010, le tourisme, secteur vital pourrait accueillir plus de touristes que d'habitude.
Selon les Nations unies, en Afrique du sud après un recul de 2,2% en 2009, la croissance est attendue à 3,1% en 2010.
En effet, l'Afrique du sud pourrait voir son économie augmenter.
L'événement devrait générer plus de 100.000 emplois et près de 3 milliards de livres anglaises pour l'Afrique du sud.
Les infrastructures sportives sont importantes pour le pays organisateur, cela participe au développement du sport.
La participation d'un pays à une coupe du monde offre des avantages économiques.
En 2002, lors de la coupe du monde, le Sénégal arrivé en quart de final pour sa première participation a vu sa fédération de football renforcé son économie(7 milliards de francs cfa ont été remis à la fédération sénégalise de football).
Pour cette l'édition de 2010 en Afrique du sud, tous les pays participants repartiront avec une somme d'argent, et cela champion du monde comme éliminé dès le premier tour. Le futur champion du monde recevra la somme de 13102810700 FCFA.
En outre, le commerce pourrait se développer pendant la période du mondial. Les boites de nuit comme les hôtels refusent du monde en période lors des éditions mondiales, cela participe au développement. Les gérants peuvent voir leurs chiffres d'affaire augmenter.
Les médias, surtout la télévision, qui achète les droits de retransmission, reçoivent à ce genre d'événement des bénéfices considérables avec la publicité.
Cependant, la coupe du monde n'a pas que des avantages; on note aussi des inconvénients.
Pendant l'événement beaucoup d'activités sont gelées donc sont au ralentis.
Il arrive que la période influe sur le système le système scolaire. La plupart du temps les services ferment tôt;personne ne veut se faire raconter l'événement.
En réalité, les grands travaux sont couteux pour le pays organisateur.
Une étude de la Bank Of America-Merril Lynch le suggère. De Suisse en 1954, à l'Allemagne, en 2006, les pays organisateur ont en moyenne enregistré pendant l'année de la compétition une croissance économique inférieure à leur rythme habituel. Leur Produit Intérieur Bruit(PIB) augmente en moyenne de 2,2% lors de l'événement, contre 3,1% en dehors de l'épisode footballistique.
Dans ce cas la coupe du monde dope l'économie.

LA FAIM EST-ELLE TOUJOURS LIEE A LA PAUVRETE?

La faim fait partie des critères du sous-développement. Elle est souvent liée à la pauvreté, par le manque d'avoir et en un mot par les difficultés à se nourrir.
C'est surtout en Afrique, au sud du Sahara; en grande partie dans dans les zones rurales qui dépendent de l'agriculture.
Elle est présente aussi en Asie et en Amérique latine.
La pauvreté c'est l'absence d'avoir et de pouvoir.
Un individu a faim lorsqu'il ne trouve pas quoi manger et ne dispose pas de moyens.
En effet, un homme qui n'a pas les moyens ne peut pas mettre en valeur la terre et par conséquent ne peut jamais assurer son autosuffisance. C'est pourquoi pour éradiquer la faim il est nécessaire de lutter contre la pauvreté.
Pour cela les dirigeants, les acteurs nationaux et partenaires au développement doivent lutter contre la pauvreté. Tout en renforçant la production ils doivent aussi assurer la consommation de manière durable.
Si la crise économique a accentué la faim, il ne faut pas exclure aussi la forte natalité dans les pays africains. Ainsi, en Afrique, même si les dirigeants investissent beaucoup dans le domaine social, il faut signaler que c'est la population additionnelle qui engloutie tous les efforts consentis par les chefs d'États.
Au Sénégal, le président de la République, Abdoulaye Wade a pris des mesures de lutter contre la faim à travers la Grande Offensive Agricole pour la nourriture et l'Abondance(GOANA).
Dans les pays développés la faim n'a pas d'ampleur, seuls les sans papiers et les sans domicile fixe pourraient être victimes de la faim, mais à des degrés divers.
Si la famine est souvent associée à la sécheresse et aux guerres, la faim est la faible productivité agricole mais aussi l'extrême pauvreté. Donc nous pouvons dire que la faim est liée à la pauvreté.
Et pour éradiquer ce fléau, le retour vers l'agriculture est nécessaire surtout dans les pays composés en majorité des ruraux.

LA FAIM EST-ELLE TOUJOURS LIEE A LA PAUVRETE?

La Faim fait partie des critères du sous-développement. Elle est souvent liée par la pauvreté, par le manque d'avoir et en un mot par les difficultés à se nourrir.
Les foyers les plus touchés par la faim se trouvent en Afrique, au sud du Sahara; en grande partie dans les zones rurales qui dépendent de plus l'agriculture.
On peut localiser aussi la faim en Amérique latine et en Asie.
Donc nous constatons que c'est dans les populations les plus pauvres que la faim existe.
En réalité, la pauvreté c'est l'absence d'avoir et de pouvoir.
En effet, un homme qui n'a pas les moyens ne peut pas mettre en valeur la terre et par conséquent n'a jamais l' autosuffisance alimentaire. C'est pourquoi pour éradiquer la faim,il faut lutter contre la pauvreté.
Pour cela les dirigeants, les acteurs nationaux et les partenaires au développement doivent lutter contre cette pauvreté. Tout en renforçant la production ils doivent assurer aussi la consommation de manière durable.
Si la crise économique a accentué la faim, il ne faut pas exclure aussi la forte natalité dans les pays africains. Ainsi, en Afrique, même si les dirigeants investissent beaucoup sur le domaine social, il faut signaler que c'est la population additionnelle qui engloutie tous les efforts consentis par les États.Justifier
Au Sénégal, Abdoulaye Wade, le président de la République a pris des mesures de lutte contre la faim, avec la Grande Offensive Agricole pour la Nourriture et l'Abondance(GOANA).
Dans les pays développés la faim n'a pas d'ampleur, seuls les sans papiers et sans domicile fixe pourraient être victimes de la faim, mais à des degrés divers.
L'individu qui a faim est celui qui ne possède pas de quoi manger et ne dispose pas les moyens.
Si la famine est souvent associé à la sécheresse et aux guerres, la faim est la faible productivité agricole mais aussi l'extrême pauvreté.
En définitive, il faut dire que la faim est liée à la pauvreté.
Il est possible d'éradiquer ce phénomène en faisant retour vers l'agriculture.